Hogwarts Express
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Mar 16 Oct - 2:31
Nom de votre personnage : Yun
Prénom de votre personnage : Woo-jin
Sexe de votre personnage : Masculin (difficilement identifiable)
Âge de votre personnage : 16 ans (25 février)

Avez-vous un animal ? Oui, un himalayan femelle du prénom "Kawa" qui veut dire "rivière". Elle est très calme et douce. Je lui ai appris quelques tours comme marcher à reculons, se mettre debout, remercier, faire le mort ou encore faire la statue. Elle ne comprend que le Japonais.

La famille de votre personnage : Ma mère, Aiko, travaille comme langue-de-plombs au ministère de la magie du japon. Je n'ai jamais connu mon père, tout ce que je sais c'est qu'il est coréen. Mon grand-père, Eiji, est un botaniste célèbre au japon. Ma grand-mère, Ichi, écrit des livres sur la divination. Ma famille est essentiellement composé de naïades, excepté pour le très grand défilé de beau-père que j'ai eu.

La description physique de votre personnage : Je fais 1m78 et je ne suis pas très épais. On m'a toujours dit que je possède un visage androgyne très jolie. Cela fait dégager de moi un charisme indéniable. Je joue beaucoup sur mon côté androgyne pour séduire les garçons. Mes cheveux sont d'origine noires, mais j'ai récemment craqué pour la couleur rose. Mes yeux en amande sont censé être tout aussi noir, seulement ma fantaisie les as mis en bleu-gris. Ma voix est loin d'être dans les graves !

Je possède des attributs en rapport avec mon espèce. J'ai des écailles dans le dos, suivant ma colonne vertébrale, c'est doux au touché tandis que la couleur est un mélange de bleu et de vert. Mes branchies qui me permettent de respirer sous l'eau sont fermé quand je suis à l'air libre, si bien que c'est compliquer de les voir de loin, il faut être relativement proche pour s'en apercevoir. Mes mains et mes pieds deviennent palmé quand je rentre en contact avec l'eau, mais pas quand je bois. Mes yeux brillent dans l'eau d'une façon légèrement hypnotisante.

Ma peau est très délicate, douce et semble vouloir se casser comme une poupée de porcelaine. Elle devient craquelée quand je suis en manque d'eau, la première partie à se craqueler ce sont mes joues puis le reste de mon visage et cela descend sur mon torse ainsi que dans mon dos. Généralement arrivé à ce stade, je suis brûlant de fièvre et je ne peux plus vraiment bouger. Je dois donc faire attention et je bois plusieurs fois par heure tout comme je me mouille aussi souvent que possible. Vaut mieux trop que pas assez, cela me donne un certain boost si je suis dans un piètre état.

La description psychologique de votre personnage : Je suis très respectueux envers les plus âgés et les plus compétents que moi. J'ai cette politesse typiquement japonaise d'encré en moi. Je ne suis pas quelqu'un de méchant, loin de là, je suis plutôt assez gentil, n'hésitant pas à entre-aider mes camarades. Je suis plutôt très tactile, que cela soit avec les filles qu'avec les garçons. Bon par contre je papouille plus les garçons que les filles. Je suis du genre à enlever la petite saleté qui traîne dans les cheveux du garçon à côté de moi alors que je ne le connais pas plus que ça. Cette façon d'être tactile, je la refrène quand cela me pousse à vouloir toucher un homme possédant un statut supérieur au mien, par exemple un professeur, sans y être invité à être tactile avec lui.

Je suis très sensible aux émotions des autres, captant vite les émotions fortes de ceux de mon entourage. C'est simple, si quelqu'un me sourit, je souris sans m'en empêcher, tout comme si quelqu'un pleur, je me mets aussi à pleurer. Ce n'est pas tout, je sens quand quelque chose de néfaste m'approche de trop près et cela me rend vite mal à l'aise, je n'ai qu'une envie c'est de m'éloigner, mais mon éducation m'en empêche et donc j'essaye de mettre de la distance de façon détourner.

Je suis proche de la nature et je prends soins de cette dernière quand j'en croise un morceau. Je fais attention où je marche pour limiter les dégâts sur le petit peuple qu'est les insectes. Je ne tue pas les moustiques ou les mouches, je les guide jusqu'à l'extérieur. Si je ne suis pas embêter, je laisse tout simplement les insectes vivres leur vie. Les animaux, petits et grands donc même les insectes, magique ou non, sentent qu'ils sont en sécurité avec moi. Ce n'est pas rare pour moi d'approcher une bestiole qui est censé être violente, avec moi, c'est tout le contraire. Je ne suis pas pour autant végétarien car je pars du principe que l'animal est de toute façon décédé et qu'il ne faut pas que cela soit en vain, il faut que son sacrifice serve à quelque chose et sûrement pas à rejoindre la poubelle. Néanmoins, il ne faut pas compter sur moi pour achever un animal, même un simple poisson, je ne peux tout simplement pas.

J'aime dormir, c'est un fait, le réveil le matin est très difficile, c'est pourquoi je prévois toujours de me réveiller bien avant le véritable réveil. Une double assurance de me voir debout.

Je suis quelqu'un de très dragueur, je suis assez facile pour finir dans le lit d'un beau garçon. C'est dans ma nature d'être comme ça. Je drague tout ce qui rentre dans mes goûts, je fais du rentre-dedans cela peut paraître très chiant, mais étant donné que je suis assez polie en général, ma drague est assez détournée. Des petits gestes, comme lire par-dessus une épaule, posé ma tête sur le bras d'un garçon, touché une main. Dans l'intimité, cela peut être bien plus poussé. Je suis assez têtue donc généralement, il faut me le dire de but en blanc pour que j'arrête et encore.

Je ne prends pas à la rigolade les devoirs et les leçons. Je suis très travailleur, je vise toujours tout en haut, je vise la meilleure note possible.

Histoire : Je suis né d'une histoire de câlins charnels entre un coréen et une japonaise. Tout deux sont des naïades, soit des nymphes de l'eau. J'ai vu le jour de leur liaison sur le seuil Japonais. Ma naissance au pays du soleil levant n'a pas été prévu, ma venue fut une surprise pour ma mère dont la liaison avec mon père n'était qu'un passage. De part sa race, ma mère n'a pas pu m'abandonner et elle m'a donc garder avec elle. Nos bagages ont été posés dans une maison traditionnelle près d'un lac, dans un village sorcier, non loin de la maison de mes grands-parents.

Je sais à peine marcher correctement que je peux déjà nager sans aucune difficulté. Je passe beaucoup de temps dans l'eau et les jours de pluies, nous allons dehors pour danser. Je ne peux pas attraper froid, à la rigueur quand l'eau est vraiment très froide, j'ai un moment d'adaptation avant de ne plus ressentir la froideur. Nos revenus financiers sont dans la normale, on ne fait pas de dépenses inutiles. Depuis tout petit, ma mère m'a habitué aux produits de beauté en tout genre ainsi qu'au maquillage pour mon plus grand plaisir. Les mauvaises langues disent d'ailleurs que c'est à cause de ça que je suis comme je suis.

J'ai vu tout un tas d'homme défilé dans la maison, quelques naïades, mais essentiellement des sorciers dont certains qui trompent leurs femmes. Cela ne me gêne pas plus que ça, je me suis juste fait à l'idée d'avoir plein de beau-père tandis que plus d'une fois grand-mère ou grand-père ont fait la tête à cause d'une énième rupture. Je sais que certaine rupture c'est de ma faute, je montre des dents à chaque fois qu'un de mes beau-père à essayer de me rendre plus viril.

Je suis rentré à Mahoutokoro à mes sept ans, y allant chaque jour a dos de pétrels-tempête géant dans ma robe de sorcier rose pale. Oui, l'école des sorciers Japonaise se voulant élitiste, l'école commence très tôt. Cela remplace l'école primaire des moldus, mais avec la magie qui s'y mêle. L'année scolaire débute le premier avril et se termine le trente-et-un mars, entrecouper de vacances scolaires. Les matières que nous pouvons étudier lors de ce cycle non-magique, ce sont la langue japonaise, la société sorcière, les mathématiques, l'éducation ménagère, l'éducation physique et la magie théorique (qui englobe toutes les matières futures et qui ne fait que survoler différents sujets).

Chaque jour commence par l’hymne de l'école dans ma classe, suivit de l'appel. On ne change pas de classe et j'ai appris très tôt à être indépendant, à savoir ranger et faire le ménage dans la salle de classe sans l'aide de la magie. Les deux cycles de l'école sont mélangé ensemble pendant les récréations. Lors de l'étude qui est toujours après les cours de la journée, nous rejoignons les plus grands, ceux qui sont dans le cycle magique. L'entre-aide est de mise et plus d'une fois j'ai pu obtenir de l'aide de la part des senpai pour mes devoirs ou juste pour réviser. Au vu de ma race, je suis autorisé à me trimballer avec une gourde d'eau pour ne pas me déshydrater, j'ai en effet besoin de plus d'eau qu'un humain. Les adultes font très attention à ce que ma gourde ne soit pas vide et lors des fortes chaleurs je dois m'armer d'un spray d'eau que mes camarades s'amusent à me mouiller dans tous les coins possibles.


Ma famille tout comme les professeurs mettent le poids de la perfection sur mes épaules. Et je ne m'écroule pas, je plonge dans les devoirs et les révisions, remportant les meilleures notes possibles. L'amusement est au second plan, c'est une récompense pour mes bonnes notes. Les bons résultats peuvent m'ouvrir bons nombres de portes, surtout si je compte travailler au ministère de la magie. Un travail dans le milieu ne me vient pas à l'esprit, étant trop jeune pour me soucier de ce que je veux faire plus tard, mise à part de jouer à la poupée grandeur nature. C'est en effet ce genre de réputation que je me suis fait dans le premier cycle dès que mes pas vont vers les filles du second cycle, je deviens une poupée maquiller et déguiser. Je fais fondre le cœur des filles qui me trouvent trop mignon. Plus d'une fois, je me suis retrouvé avec un serre-tête d'oreille de lapin que j'ai toujours retiré avant d'entrer dans ma salle de classe par respect envers le sensai.

Je finis mon premier cycle à l'école sans problème, j'ai même eu une récompense pour être le premier de ma promotion. J'ai même dû faire un discours. Et preuve est de constater que je n'ai pas eu de trac ni rien.

Pour le second cycle, soit vers mes onze ans, je récupère ma baguette magique. Cette dernière est fait de bois de charme et de crin de licorne, de nature solide ainsi que mesurant 25cm. Je ne rentre plus à la maison, excepté pour les vacances. Les matières changent, sauf pour l'éducation ménagère et l'éducation physique qui sont les seules matières que l'on garde. Ainsi, les matières magiques prennent place soit astronomie, botanique, défense contre les forces du mal, métamorphose, potions, histoire de la magie, sortilèges & enchantements et vol. Ma préférence va vers la botanique, mais c'est un fait en rapport avec ma nature. Je n'ai pas vraiment de points faibles puisque je fais tout mon possible pour n'avoir que de bonnes notes, mais j'avoue que je mets plus de temps pour travailler l'astronomie que les autres matières. Comme j'arrive à garder l'excellence, ma mère m'autorise à m'inscrire à un club, je décide de prendre celui de danse.

Je termine ma première année largement devant les autres. Avec le club de danse, nous nous produisons pour la fin de la scolarité. Je suis repéré par quelqu'un travaillant dans le domaine du mannequinat. Elle est tombée sous le charme de mon visage et après une grande discussion sur le sujet avec ma mère, nous acceptons de faire quelques clichés juste pour voir. Je suis assez photogénique. Je finis donc par devenir mannequin pour cette marque japonaise lors des vacances scolaires car je ne dois pas délaisser mes études.

Ma nouvelle activité extra-scolaire est vite remarquer par mes camarades, surtout par les filles qui viennent me coller pour avoir mon attention. Cela ne m'intéresse pas plus que ça, ma concentration préférant se mettre sur les cours ou sur l'aide que je peux apporter aux Kohai lors de l'étude. Je suis nommé président des deuxièmes années, un rôle que j'arrive à prendre en main. J'obtiens de très bons résultats pour la fin de l'année.

Lors des vacances d'été de ma troisième année, soit trois mois après ma rentrée (je n'ai d'ailleurs pas postulé pour être président à nouveau), je dois voyager avec d'autres mannequins pour aller faire quelques défilés en Angleterre. Le changement de pays me fait un drôle d'effet, ce n'est pas la même chose que le Japon. J'ai été assez dépayser ainsi que complètement perdu avec cette langue qui m'est étranger, même l'écriture est très bizarre. Je ne suis pas lâché dans la nature, encore heureux. Je n'hésite d'ailleurs pas à poser des questions au traducteur qui nous accompagne quand je ne comprends pas quelque chose. Pour les repas, je me suis sentis rassuré en retrouvant des plats typiquement japonais. Non pas que je n'aime pas la nourriture anglaise, c'est juste que je suis plus à l'aise avec des baguettes que d'autres couverts et la nourriture anglaise n'est pas simple à manger avec des baguettes. Enfin bref, les défilés se sont très bien passé, j'ai été pris en photo un nombre incalculable de fois. Je suis resté là-bas pour toutes mes vacances, j'ai même eu des interviews.

Je reviens au japon, retournant en cours avec plein de choses à raconter à mes camarades de classe, aux plus jeunes comme aux plus vieux. Je partage mon vécu, des choses qui sont pour nous étranges et qui se passent là-bas. Le passage sur les salles de bains a fait bien rire mes camarades.

Les choses s'accélèrent avec le club de danse, après un vote, nous avons décidé de participer à un concours, mais pour le remporter nous devons nous mettre à chanter. Tout le monde ne peut pas y participer, seuls les plus compétents vont être sélectionné. C'est un genre de concours internationales moldus et sorciers confondus.

Les sélections pour savoir qui va faire le groupe final, qui ne doit pas dépasser sept participants, est très serré, tout le monde se bat pour une place en essayant de ne pas délaisser les cours. Les sélections sont basé seulement sur la danse. Nos professeurs sont les juges et petit à petit des danseurs se font éliminer. Je reste dans la compétition jusqu'à la fin. J'ai obtenu une place. Les répétitions se font encore plus coriace, mais aucun de nous cèdes à la pression. J'arrive à garder de bonnes notes, aider par mes camarades. Nous sommes soutenues par le reste de l'école, si bien que les filles se proposent pour nous faire des massages ou pour nous préparer nos repas et nous les apporter dans la salle de répétition.

Juste après avoir passé nos examens de mars, nous devons vite rejoindre le lieu de la compétition. Il y a au moins une vingtaine de groupe japonais qui sont nos adversaires. Ce fut une semaine très éprouvante, à chaque fois que nous retournons dans nos chambres, nous faisons redescendre la pression en plaisantant et en nous amusant. Tout est très serré, mais nous finissons sélectionner parmi les cinq groupes qui vont représenter le japon. Notre retour à Mahoukotoro est accueilli en fanfare par tous nos camarades. Tout un tas de filles s'est hâté de nous offrir des présents en tout genre, on a dû faire un millier de merci. Nous avons déballé nos présents dans l'intimité de la salle de répétition. J'ai reçu plein de lettre d'amour et des chocolats que j'ai vite tester avec un sortilège de détection pour faire attention à ce qu'il n'y a pas de philtre d'amour, ce qui avait été le cas pour au moins un quart des boites à chocolats. Mais un du groupe n'a pas eu ce réflexe et j'ai dû lui enfoncer un remède dans la bouche même si l'envie de le voir en amoureux transit avait été très tentant.

À présent en quatrième année, avec le groupe, nous devons apprendre tout un tas de nouveauté pour le prochain concours qui va se faire aux états-unis dont l'anglais et bien sûr le chant. J'arrive à suivre aussi bien en cours qu'en danse. Mais l'arrivée d'un petit quelque chose appelé hormone était venu taper à ma porte, coupler à ma nature, cela a fait bien des ravages. Les filles se sont mises à baver devant moi et mes jeux de rentre-dedans avec les garçons qui étaient plus ou moins discret. J'ai la drague facile, les mains baladeuses et le regard faussement innocent. Que cela soit pour ma famille ou pour mes amis, ce n'est pas une surprise. Rien pour m'amuser, j'ai embrassé chaque membre du groupe. Aucun des six garçons n'a refusé, relevant le défi. Si pour certains cela ne fut qu'un seul, pour d'autres, ce n'est pas du tout pareil. J'ai eu en effet des demandes en privé pour recommencer, ce que j'ai accepté. Puis, j'ai eu des demandes pour aller plus loin, ce que j'ai aussi accepté sans aucune hésitation.

Je continue le mannequinat lors des vacances même si je passe plus de temps à la répétition que pour les photos. J'obtiens pour ma plus grande surprise le titre du "garçon le plus mignon du japon". Je me fais attaquer par les garçons de l'école de serre-tête mignon. Enfin ce n'est rien comparer à ce que les membres de mon groupe m'ont fait, ils m'ont déguisé en Geisha et ils m'ont obligé à me déplacer en ville moldu comme ça. Évidemment, ils ont aussi pris des photos. Ce fut un moment très gênant surtout quand certains passant ont quémander une photo. J'arrive troisième au classement des examens de fin d'année.

Juin arrive alors que je suis en cinquième année. C'est l'heure d'aller se battre pour la première place aux états-unis. Nos camarades nous encourages pour les semaines qui vont suivre. Toutes les équipes, soit cinq par pays participant sont tous logés dans le même hôtel. J'avoue que cela fait très bizarre de voir autant de diversité au même endroit. Des moldus, des sorciers et des créatures magiques incognitos. Nous nous montrons respectueux avec les autres participants et j'accroche tout de suite avec un Canadien de la même espèce que moi. D'ailleurs, j'ai eu un tête à tête avec lui et un lit qui fut très divertissant. Bon cela ne fut pas mon seul coup, sans compter mes amis bien sûr.

Tout ça fut très stressant pour tout le monde, plus d'une fois j'ai pris un de mes amis dans mes bras pour le rassuré. Je suis devenu le mélange entre une maman et un doudou. J'ai résisté à l'envie de réconforter nos adversaires. Notre groupe sème l'ambiguïté, après tout, nous sommes tous assez tactiles les uns vers les autres. Je crois que c'est un peu de ma faute, à cause de ma manie de papouiller mes amis et ces derniers qui se laissent faire en renvoyant les gestes affectifs. Mais bon, on ne se soucie pas de l'avis des autres surtout quand c'est dit méchamment à notre rencontre. Notre politesse et notre retenue nous fait juste sourire aux insultes et de nous excuser pour rendre mal à l'aise les autres sans pour autant arrêter les papouilles. Mais tout bas qu'est-ce qu'on les insulte ! Et on se marre de plus belle dans l'intimité de nos chambres.

Les éliminations défilent, mais notre nom ne sort pas. Mahoutokoro reste en position. Jamais nous comptons céder à la pression. Aucun pas hésitant, aucun mot bredouillé. Nous maintenons l'honneur de notre école en jeu. Notre groupe se présente sous des aspects mignons et ambiguës qui séduit le jury ainsi que le public. Nous arrivons à la finale, nos cœurs battant la chamade, tous serrer les uns aux autres et nous avons dû mal à comprendre que notre nom est annoncé. Nous avons gagné la première place. Je suis le premier à pleurer et tout aussi le premier à être câliné par l'un de mes amis. On remercie chaleureusement le public et les juges. Nous recevons un prix, mais ce n'est pas le plus important car après tout, nous ne l'avons pas fait pour cette récompense, on l'a fait pour le plaisir d'être en compétition et on a montré que Mahoutokoro n'était pas n'importe quelle école de sorcellerie, c'était la plus élitiste, la première dans les classements.

La nouvelle de notre victoire, en plus d'être passé aux médias moldus, elle est passée dans les journaux sorciers internationaux. Avec une image mouvante de notre victoire où chacun d'entre nous sommes émues, faisant des remerciement et se câlinant. Après quelques interviews de journalistes friand d'informations à aller raconter, nous pouvons enfin rentrer. Maintenant que c'est terminé, tout retombe et je dois bien admettre que j'ai dormi pendant tout le retour en avion. À peine un pied posé sur notre terre que le public japonais nous attends, cela nous a choqué car on ne s'attendait pas à un tel accueil. Je dois bien dire que c'est très flatteur. On se fait féliciter par tous les moldus, avant de réussir à s'échapper, aider par des hommes du ministère de la magie qui nous conduit au dit ministère. Nous qui pensons juste rentrer tranquillement à l'école pour rapporter le trophée, nous voilà félicité par le ministre lui-même. Je suis tout intimidé même si cela ne se remarque pas, mais je suis vite reconnecté au réel grâce à une main sur une de mes épaules pour m'intimer silencieusement au remerciement, ce que je fais vite. Ensuite, nous rentrons enfin à l'école pour recevoir un accueil extraordinaire. On a eu le droit à deux jours de repos pour se remettre de nos émotions, je les ai passé à dormir dans le lac près de chez moi.

La reprise des cours a été assez compliquer, je me suis fait un peu suivre par plusieurs de mes camarades qui sont tombé encore plus sous mon charme grâce à la réussite. Je ne suis pas le seul, mes amis du groupe ont la même chose de leur côté. J'évite une fois de plus de me faire ensorceler par un philtre d'amour. Les sensei nous prennent à part pour nous remettre à niveau avec ce que nous avons loupé. Je reprends vite le coup. Le bouche à oreille fonctionnant parfaitement dans une école, la rumeur dit qu'un parent moldu d'un élève nous cherche pour faire un album. Après concertation avec les parents et les sensei, tout ça est organisé. Le temps pour l'album est pris sur le temps du club de danse. De ce fait, nous quittons l'île de notre école après l'étude chaque jour et nous revenons pile pour le dîner, le week-end est aussi mit à profit. Les vacances sont aussi utilisé pour les tournages de clips en plus de mes séances photos pour le mannequinat.

Cette année chargée se termine et je suis deuxième au classement aux examens. La sixième année commence tranquillement avec la même ambiance que précédemment. Mais le hic, le truc survient en fin août. Ce n'est pas mon idée, c'est venu d'un moldu qu'on a croiser après un tournage de clip. Il nous a invité à une soirée un peu illégale. Je n'ai pas été très chaud pour aller faire la fête, il ne m'inspire pas confiance, mais il insiste encore et encore, j'ai finis par accepter moi aussi. L'ambiance, la musique, les gens, tout y est. L'éclate totale, pourtant mon inquiétude à commencer à monter en voyant mes camarades céder à la tentation de l'alcool. Mon refus catégorique de façon détourner de boire de l'alcool fait grincer des dents le dit moldu qui nous a invité. Mais je suis bien obliger de m'y plié car ce n'est pas polie de refuser ainsi une boisson offerte. Et un verre se transforme en plusieurs. Je ne sais plus trop ce qui s'est passé, je sais juste que j'ai pris autre chose à la soirée, que j'ai pris de la drogue en grande quantité et que j'ai volontairement ou non couché avec un ou plusieurs mecs. Je me souviens parfaitement mettre évanouis, puis mettre réveillé dans un bocal d'eau à l'hôpital avec le jugement de ma mère.

Ensuite, je me suis retrouvé à des réunions sur les dangers de l'alcool et de la drogue, des réunions moldus et des réunions sorcières. Je me suis bien ennuyer, vraiment. Au moins, les autres aussi ont eu les mêmes soucis, enfin plus ou moins. On a réussi à faire taire la presse, mais seulement celle moldu. La désastreuse soirée a été compter dans les journaux sorciers, je crois que cela a été jusqu'en Angleterre. Il y a même une photo où me voit carrément en train d'embrasser un mec tout en étant peloté par un autre. Et une autre photo où je suis à terre en train d'être pris en charge par des médicomages que l'un de mes amis ayant encore un peu de sa tête a réussis à convoquer en ayant envoyé un patronus. On a dû s'excuser pour notre comportement en public. Chacun a été sermonner par ses parents, annonçant une ou deux punitions.

Ma punition, je l'ai attendu, mais elle n'est pas venue tout de suite. Ma mère m'a empêché de retourner à Mahoutokoro pour la reprise de septembre. Elle a disparu de la circulation pendant de longues heures, organisant quelque chose dans mon dos. J'ai appris de quoi il s'agit, elle veut m'envoyer dans une autre école, me privant de mon groupe d'ami, de mon groupe de danse et de mon mannequinat. C'est ma punition. Cruelle soit-elle, je ne peux pas aller à l'encontre de ma mère, c'est elle qui décide et je dois accepter. Ça passe de travers, les larmes coulent dans le silence de ma chambre, tandis que je m'excuse une nouvelle fois pour mon comportement envers ma génitrice.

J'arrive à Poudlard, une école aux principes inconnus dans un pays que j'ai déjà légèrement visité par le passé. Je sais parler l'anglais, la lecture et l'écriture me demande de la concentration pour tout traduire. J'ai loupé la première semaine de cours de cette année, mais en y regardant pas vraiment puisque j'ai commencé au japon. Bien sûr, l'équipe professoral a été prévenu de mon besoin d'eau.
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Mar 16 Oct - 16:13
Bonjour et Bienvenue à Poudlard jeune homme.

Le Choixpeau eut quelques hésitations Serdaigle ! s'écria-t-il!

Maura MacFadyen est votre Directrice de Maison. N'hésitez pas à la contacter au besoin.

Orson Wallace est votre Préfet. Il se fera une joie de vous accueillir dans votre nouvelle Maison.

En vous souhaitant une bonne scolarité entre nos murs,
Magiquement,

Warren Dietrich, Directeur.
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Warren Dietrich
Warren Dietrich
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Emploi : Directeur de Poudlard/Professeur de Potion et de Quidditch
Localisation : Son bureau ou derrière vous
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Votre Amour : Woo-jin Yun Tumblr_inline_p7jhlcbpjF1rd3afl_100
Warren Dietrich
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