Sous le ciel étoilé, deux silhouettes (Evelyne)

Alors que certains s'adonnaient à un jeu ridicule de bizut et que d'autres se racontaient des histoires qui n'effraieraient même pas le plus peureux des enfants, Klaus tendit son bras à Evelyne pour l'inviter à marcher sous le ciel étoilé. Loin de lui l'idée d'une balade romantique, il y voyait plutôt l'occasion de discuter en privé avec elle. Il voulait échanger avec elle ses impressions sur les élèves qu'ils avaient rencontré aujourd'hui et faire le point. Il souhaitait faire un tri sur ceux qui étaient intéressants de conserver dans leur influence, ceux qu'il fallait considérer comme quantité négligeable et ceux qu'il fallait garder à l'oeil.

Il l'entraina avec lui à l'opposé du jeu que Sheeris avait proposé. Tomber sur des ado surexcités, très peu pour ce qu'il avait prévu. Ils commencèrent à longer le rivage. Klaus s'enquit de l'état d'Evelyne. Ma chère Cousine, la cadence te convient? Es tu assez couverte ou faisons nous un arrêt aux tentes pour te récupérer quelque chose? Klaus faisait ici montre de sa bonne éducation. On ne laissait pas une Lady dans le froid et le vent. Sa mère l'aurait sermonné autrement. Que penses tu du déroulement du WE? As tu relevé des choses intéressantes? Qu'aimerais tu faire maintenant?

Puisque le petit jeu de chasse n’intéressait ni notre demoiselle, ou même son cousin. Les deux s’étaient mis d’accord pour s’éloigner du feu de camps et d’aller plutôt marcher sur la plage tout simplement. De toute façon, ce genre de jeux était une façon enfantine de s'amuser. Et notre demoiselle avait passé l’âge de ce genre de chose. Enfin pas vraiment, mais elle était peut être un peu plus mature que les autres jeunes de son âge. Elle avait grandit assez vite. Elle avait donc pris le bras de son cousin, se fichant des regards que les autres pouvaient leur lancer. C’est vrai que parfois les deux étaient peut-être un peu trop près l’un de l’autre pour être de la famille. Mais le regard des gens autour d’eux étaient toujours un petit plaisir pour la jeune femme qui aimait causer le trouble dans l’esprit des gens. Et dans les endroits ou elle allait.


Les deux marchent le long du rivage, alors que notre jeune femme avait à peine enfilé une petite veste pour se réchauffer. Mais ce n’était pas le froid qui allait lui faire peur tout simplement. Ce n’était pas si pire que cela de toute façon. Et elle était toujours pieds nu d’ailleurs. Donc elle sentait chaque petite vague qui se rendait jusqu'à ses pieds dénudé.  Alors lorsque son cousin s’enquit de son état, elle lâcha un petit rire. Avant de tourner la tête vers lui.

- La cadence me va.  Et je n’ai pas froid. Ne t’inquiète donc pas. Tout va bien pour moi.


Elle ne fit que se rapprocher de son cousin, montrant qu’elle allait bien. Mais qu’elle profitait aussi de la chaleur de celui-ci. Il lui demanda tout de suite ce qu’elle pensait du déroulement du Week-end. Faut dire qu’elle n’avait pas vue beaucoup de chose étant arriver un peu en retard. Mais pour l’instant tout allait bien.


- Et bien je trouve que certain sont peut-être immature, mais bon on ne peut pas tout avoir dans la vie.  Des choses intéressante pas vraiment. Et si on ne faisait que marcher dans cette direction et voir ce qu’il y a au bout?



Elle pointa devant eux, en lâchant un léger rire.


- Et toi tu as faite des rencontre intéressante ?

Ca faisait un bien fou à Klaus d'entendre sa cousine rire. A vrai dire, il n'y avait bien qu'avec sa cousine qu'il était détendu. Qu'il s'autorisait à être lui-même et à se détendre. Il sentit qu'elle se rapprochait alors il retira son bras du sien pour le passer sur ses épaules et la serrer contre lui. Il partageait avec elle sa chaleur.

T'as raison Eve, marchons encore un peu. Et oui il y a beaucoup d'immatures ici. Un vrai cirque des fois. Tu verrais chez les Serpentards. Ils ont tellement eu un comportement de gamins qu'on a eu la blinde de points en moins et que la Directrice de notre maison est venue nous remettre les points sur les "i"...

Klaus entraina sa cousine jusqu'à un grand rocher plat un peu en hauteur. Il la saisit par la taille et la hissa sur le rocher. Il retira sa veste et la déposa sur les épaules d'Evelyne. Des rencontres intéressantes? Mouais... Peut être. Y a la petite Alienor Cavendish, la plus grosse famille sorcière. Je pense qu'il y a moyen d'en faire une alliée surtout si elle sort avec Tyler Rose le préfet de Serpentard. Grosse famille française. Mais t'en approche pas Cousine... Il a toujours en tête Sheeris Halder, une gryffondor plutôt bien foutue d'ailleurs. Après... Y a Levi... Famille d'empoisonneur. A avoir à l'oeil. Après pas grand chose... Peut être Lucas Sombrage. La famille est super riche aussi. Ils sont dans les balais et les objets magiques. Mais une semaine c'est pas suffisant pour moi tu le sais Chérie.  

Il s'assura qu'elle n'avait pas trop froid en lui frottant doucement les bras. Et aux niveaux des cours et des professeurs tu t'y retrouves? Tu ne te perds pas trop dans l'école? Elle est plus grande que ton ancienne. Y a aucun con qui t'emmerde au moins? Personne ne faisait chier ma cousine.

Lorsque son cousin retira son bras de celui de la jeune femme, celle-ci arqua un sourcil. Mais fini par comprendre son petit manège lorsqu’elle sentit le bras de ce dernier autour de ses épaules. Elle pouvait donc maintenant encore plus profiter de la chaleur de ce dernier. Puis il acquiesça sur le fait que certains jeunes étaient immatures dans l’école. Mais bon les deux Erheart avait toujours été plus mature que les jeunes de leurs âges de toute façon. C’était dans leur gène tout simplement. Lorsqu’il lui mentionna que a peine arriver au château que sa maison avait déjà perdu des points en plus d’avoir été engueuler par leur directrice. Ceci la fit rire de nouveau. Elle était bien heureuse de ne pas pas avoir été placé à Serpentard alors. Bien que ne pas être avec son cousin était une petite punition pour elle. Puisque notre jeune femme aimerait bien être plus près de lui. Juste au cas où quelque chose arriverait. Comme un cauchemar.


- Déjà un problème avec votre directrice? Ça commence bien l’année.



Lorsque les deux finirent devant un rocher plat, notre jeune femme sentit son cousin la prendre par la taille pour la monter sur le rocher. Ceci la fit sursauter un peu, mais elle alla prendre sa place sur le rocher. S’assoyant sur ses genoux, pour ne pas être assise directement sur le rocher. Puis elle sourit lorsque celui-ci déposa sa veste sur ses épaules. Déposant ses mains sur ses épaules, elle resserra la veste sur elle, pour couper le petit vent froid. Elle l’écouta parler de ceux qu’il avait pu rencontrer, sans oublier de mentionner les grandes familles en même temps. Ce qui fit rire notre demoiselle. Surtout lorsqu’il mentionna la beauté de certaine demoiselle. Il avait donc déjà une petite liste de victimes. Si on pouvait dire cela ainsi. Faut dire qu’elle aussi avait déjà une petite liste de qui se rapprocher ou pas. C’était quelque chose qu’elle avait appris à faire depuis qu’elle était petite. Surtout avec l’ancienne école ou elle était.


- Oui une semaine ce n’est pas assez. Je te l’accorde. On trouvera avec qui s’allier ou pas avec un peu plus de temps.



Elle ne mentionna guère sa petite relation avec le préfet de Gryffondor. Puisqu’elle savait que celui-ci allait sans doute lui dire de faire attention comme toujours. Mais elle savait très bien ce qu’elle faisait. Elle le sentit ensuite frotter ses bras pour pas qu’elle aille froid. Ceci la fit sourire, mais aussi se rapprocher un peu de lui.


- Je me perds un peu dans les couloirs de l’école. Mais je vais finir par m’y habituer. Oui, Poulard est bien plus grande que mon ancienne école, mais au moins ici je me sens plus à ma véritable place.




Elle relâcha un léger rire avant de répondre à sa dernière question.


- Non personne ne m’embête ici. Et de toute façon je ne suis plus la jeune fille qui se cache, je sais me défendre maintenant, Klaus. Ne t’inquiète pas. S’il y en a un qui me fait du mal je t’en parlerais.

Klaus hocha la tête. Oui une semaine c'était fort peu... Un mois serait plus concluant. Dans tous les cas, il avait déjà bien travaillé à asseoir son autorité sur Serpentard. Il n'aimait pas être le dernier au courant de ce qui se passait. Alors il avait fait en sorte d'être toujours au courant de tout sans jamais être sur le devant de la scène. C'est peut-être bien en cela qu'il était dangereux. Il avait toujours de bonnes informations mais ne se salissait jamais les mains quant il s'agissait de mettre en pratique ses plans. Il trouvait toujours un sou-fifre toujours prêt à prendre du gallon... Et il avait pléthore de choix dans sa maison. Mais il avait aussi un adversaire de taille avec qui il avançait sur des œufs de salamandre... Le préfet de Serpentard, Tyler Rose... Il avait conclu un pacte de non agression mutuelle... Qui sait... S'il était assez intéressant, Klaus pousserait-il jusqu'à de l'amitié.

Peu de personnes avaient son amitié. Ils étaient 5 si on comptait sa chère cousine qui semblait mourir de froid malgré ses dires. Il décida de l'enlacer pour la garder au chaud. Qu'importe qu'on le surprenne à faire preuve de tendresse envers elle. Il ne considérait pas cela comme une faiblesse mais une force. Car c'est cette tendresse qu'il ressentait pour elle qui le ferait déplacer des montagnes pour son bien-être. Il espérait sincèrement qu'elle lui dirait tout de suite si on la harcelait ou si un mec avait des gestes mal placés à son égare. Il savait qu'elle pouvait se débrouiller seule comme une grande. Mais il l'avait aussi vu tomber et perdre du poids à cause de sales petites pimbêches moldues et il ne laisserait pas cela recommencer ici. Pas en ayant le pouvoir de faire quelque chose.

Il décida de changer de sujet pour quelque chose de plus léger... Il lui prit le menton et sourit. D'une voix taquine et lourde de sous entendue, il lui déclara sans préambule.Tu sais que tu manques à Widson ? Il se languit de toi ma belle. La dernière fois que je l'ai vu... Il me racontait encore comment il t'avait fait sursauter en se faufilant derrière toi en criant « bouh ». Widson était le meilleur ami de Klaus. Sorcier comme lui, il avait aussi fréquenté le Elton College. Son père ne l'avait pas encore inscrit à Poudlard car il était en déplacement avec son fils en Amérique Latine mais Klaus avait bon espoir qu'il intègre l'académie.

Alors que les deux jeunes gens s’étaient bien installer sur un rocher près de l’eau, notre jeune femme observa les alentours. Sans oublier de regarder a quelque reprise vers le feu de camp, un peu plus loin. Pour voir si les jeunes là-bas s’amusaient toujours autant, sans les deux Erheart. Elle resserra un peu la veste que son cousin avait déposée sur ses épaules. Pourtant habituellement, elle n’avait pas froid de la sorte. C’était peut-être parce qu’elle n’était pas encore habituer a la température près de l’école tout simplement. Il allait lui falloir plus qu’une semaine pour s’y habituer voila tout. Mais bon juste la veste de son cousin l’aidait un peu, surtout qu’elle se blottie contre lui d’ailleurs. Se fichant bien qu’il pourrait y avoir des rumeurs sur les deux après. Puisqu’elle n’avait pas encore mentionner son nom de famille a personne d’autre que les professeurs. Donc le fait que les deux savaient éloigner des autres, pourraient très bien déclencher quelque rumeurs. Ce qui pourrait être bien drôle.



Leur discussion tourna pas mal sur les élèves de l’école, voir en qui ils pouvaient avoir confiance ou pas. Elle ne savait pas trop sur qui se confier ou pas. Une semaine n’était pas assez. Surtout pour elle qui avait du mal à faire confiance depuis son ancienne école. Ou elle était rejetée de tous. Sauf une seule personne. Betty. Sa seule amie, en qui elle avait une confiance aveugle. Et qu’elle aimerait bien que celle-ci finisse par se pointer à l’école. Au moins la elle ne serait plus toute seule. Puis lorsque la discussion pris une toute autre tournure. Notre jeune femme se redressa un peu, puisqu’elle s’était entièrement coller a son cousin, pour le regarder droit dans les yeux. Il parlait vraiment de Widson la? Celui-là, comment dire, il avait eu le don de faire sortir notre jeune demoiselle de ses gonds par moment. Surtout le jour où il lui avait foutu la trouille du siècle. Faut dire que ce jour-la, elle avait regardé quelque film d’horreur avant qu’il ne se faufile derrière elle pour la faire sursauter de la sorte. Soupirant un peu, elle secoua légèrement la tête avant de lui répondre.


- Ah celui-là. C’est étrange à dire, mais il me manque un peu aussi. Mais je ne regarderais plus jamais de film d’horreur avant de le voir. Je n’ai pas envie qu’il me refasse ce coups-la. Et comment vont les autres?

Il la tenait serrer contre lui, faisant barrage de son corps pour qu'elle n'ait pas froid. Il était tard et malgré la magie de l'école, la nature était ce qu'elle était. A une heure du matin, le fond de l'air était froid voilà tout.

Klaus s'inquiétait un peu. Il voulait savoir si elle s'était faite des amis. Si les gryffondors la traitaient bien. Il ne les connaissait pas beaucoup. Mais il avait déjà pu voir Lucas leur préfet et Sheeris à l'oeuvre. Il ne lui semblait pas que c'est deux là soient des harceleurs mais plutôt des redresseurs de tord. Il se serait surement plus inquiété si elle avait échoué à Poufsouffle. Cette maison avait bien changé vu les pestes qu'il y avait rencontré.


Il sourit quand il vit la mimique d'Eve sur sa remarque sur Widson. Il lui répondit avec un rire au fond de la voix.


J'espère le voir bientôt à Poudlard. Et bien... Marlon va bien. Ric aussi... J'avoue ne pas avoir de nouvelles de Tamie... Mais tu connais ses parents... Enfin leurs parents. Les 4 sont sorciers aussi mais je sais pas... Je crois qu'ils attendent que je fasse le crash test pour leurs mômes chéris...

Il embrassa sa cousine sur le nez. Et toi tu as des nouvelles de Betty La Peste? Klaus avait beau dire, il aimait bien Betty. Il la taquinait pas mal, Marlon aussi d'ailleurs mais lui c'est parce qu'il lui tournait autour. Il était d'ailleurs reconnaissant envers Betty de s'occuper de la prunelle de ses yeux.

Bien blotti contre son cousin, notre jeune femme se réchauffait enfin assez pour ne plus frissonner du tout. Enfin ! Elle n’allait guère passer son année entière à coller les gens pour avoir chaud. Bien que cela pouvait être amusant. Surtout de voir les réactions des gens ! C’était bien al seule chose qui pouvait l’amuser autant, la réaction de chacun a ce qu’elle pouvait faire. Elle avait appris de ces erreurs dans son ancienne école. Maintenant elle se fichait bien que les autres peuvent avoir des réactions non voulu. Ce n’était plus son problème. Elle allait continuer vers l’avant, sans plus jamais regarder en arrière, dans son passée horrible. Ne plus y penser serait un très bon départ. Mais elle avait toujours de la misère à oublier tout ceci. Puisque ça faisais même pas une année qu’elle avait vécu cette abus des jeunes demoiselles de son ancienne école.  Soupirant un peu, elle se blotti un peu plus contre son cousin, profitant de sa chaleur corporel.


Mais lorsque celui-ci lui rappela un petit détail, sur un de ses copains, qui s’amusait à jouer des tours a notre jeune femme. Elle avait fait une légère grimace, se souvenant exactement de ce moment précis. Et aussi sa propre promesses de ne plus regarder de film d’horreur avant de voir les amis de son cousin. C’était bien trop dangereux pour sa santé ! Et c’était peu dire. Elle l’écouta ensuite parler des autres membres de la bande, qui avait l’air de bien manquer à ce dernier. Pour ça, elle le comprenait très bien. Puisqu’elle attendait toujours que sa seule amie de l’ancienne école, vienne la rejoindre. Justement, il lui demanda comment elle allait. Ceci mis un sourire aux lèvres de notre demoiselle. Avant qu’elle se redresse un peu, pour regarder son cousin dans les yeux. Surtout qu’il avait déposé un léger baiser sur le bout de son nez, ce qui al fit rire un peu avant qu’elle ne lui répondre.


- Elle n’est pas une peste je te signale. C’est elle l’ange de notre amitié, il ne faut pas l’oublier. Et elle va bien on s’écrit a presque tout les jours. Puisqu’elle attend toujours que ses parents la laisse venir ici à son tour.



Elle lâcha un léger rire avant de continuer sur sa lancer.

- Je m’ennuie vraiment d’elle. J’aimerais bien pouvoir tout lui dire, en personne, au lieu de par lettre.

Mine de rien, Klaus fut rassuré de ne plus sentir sa cousine trembler comme une feuille dans le vent d'automne. Il resserra tout de même ses bras autour d'elle quand elle se blottit un peu plus. Ce geste là, de réconfort sans arrière pensée, Klaus ne l'avait pas souvent. Tout chez lui était calculé, pensé, millimétré pour rentrer dans l'image qu'il renvoyait aux autres.

Il avait conscience d'appartenir à une classe privilégiée. De ne pas avoir non plus un pedigree d'une grande valeur comme certains sorciers qui se targuaient de noblesse mais qui n'avaient de noble que la particule du nom de famille. Or lui... C'était la noblesse du comportement qui lui importait.

Il était dur avec les autres mais encore plus avec lui même. Alors les rares moments de tendresse et de compassion qu'il avait, il les réservait à sa famille. Et Evelyn était sa seule famille. La seule qui valait le coup de se montrer moins dur et plus expensif. De se montrer juste soi même. Le reste n'était que masque et mascarade. Un jeu de fort et de faible. Et il était hors de se montrer faible. Surtout pas à serpentard.

Le rire de sa cousine. Il lui avait manqué. Tellement. Il aimait sa cousine. De cet amour qui existe entre un frère et une sœur. Inconditionnel. Sans limite et sans faille. La voir triste lui déchirait le peu de cœur qu'il avait. Parce que oui. C'était bien connu. Klaus Erheart n'avait pas de cœur. Il n'était que glace et venin. Et cela lui convenait très bien. La solitude il connaissait bien. Il avait peu d'amis mais tous de confiance.

Quand il vit la tristesse passer dans les yeux de sa cousine il lui sourit et la calina de plus belle. Allons ma belle. Ne sois pas triste. Elle finira par venir. Ta petite perle sera bientôt là et tu viendras me couiner dans les oreilles à quel point elle te met les nerfs en pelotes. Et puis... Dans ta maison il y a des gens intéressants. Heureusement tu n'es pas tombée chez les poufsouffles. J'aurai moins de soucis à me faire. Ils sont dérangés à Poufsouffle. Fais attention à eux. Klaus laissa ensuite l'initiative du reste à sa cousine. Il lui lâchait les rennes pour savoir ce qu'elle désirait faire ensuite.