Ven 30 Nov - 13:28 Mardi 5 heure du matin…
Je suis assise sur mon lit, je n'arrive plus à dormir ! Cette nouvelle vie me pertube un peu. C'est logique que cela me trouble puisque je n'ai jamais eu l'habitude qu'on soit gentil avec moi, qu'on m'aide, qu'on me remarque, qu'on me questionne. Toutes ses choses sont toutes nouvelles pour moi mais je peux dire que cela me plais. Je fermes les yeux, les jambes croisée sur mon lit tout en reflechisant à ce que tout cela peut m'apporté. Encore personne ne m'a questionner sur ma condition à part cet éléves que j'ai croisé le premier jour de ma venue et qui est partis ce qui me laisse un petit froid. Je ne sais pas vraiment si c'était un sentiment amical ou autre chose que je ressentais à son égart cependant il est partis bien trop tôt pour que je le découvre et sans oublier qu'il était le seul à connaitre se que je suis.
J'ai encore peur que quelqu'un le découvre, qu'on ai peur de moi si on découvre ce que je suis. Si seulement, je pouvais être sur que personne ne fuirais face à moi ! Je sais que tôt ou tard, ils finiront par se questionner sur beaucoup de chose me concernant. D'abord, je me déplace sans bruit, un atout pour ma part, je ne mange pas avec eux. Normal puisque j'ai une autre forme de nourriture ! J'ai des comprimé de sang, ma nourriture. Rajouté à cela que j'évite le plus possible le soleil.
A part tout ça, je ressemble à tout le monde.
Quelques minutes plus tard, je me lève, fait mon lit et me dirige vers mon placart pour prendre des vêtements et tout cela sans faire de bruit. Le silence règne dans le dortoir, je pourrais largement apercevoir chacune des filles mais je n'ai aucune envie de m'attardé sur ça. Une fois mes vêtements en main, je me dirige vers la salle de bain afin de prendre une douche. Une demi heure plus tard me voila toute fraiche, habillé.
Je remonde doucement les escaliers qui me conduit jusqu'au hall d'entrée. Je n'ai pas besoin de me rendre dans la grande salle puisque je ne mange pas comme eux. Je pourrais si je le voulais passer par cette salle mais j'ai peur que le fait de ne rien manger attise leur curiosité et je ne suis pas encore prête à dévoiler ce que je suis.
Le soleil n'est pas encore levé, je peux donc largement sortir sans protection, bien que j'ai au préalablement préparer une paire de lunette solaire, de la crème pour ma peau et même une ombrelle si le soleil tape un peu fort.
Il est alors presque 7 heure je continue ma route jusqu'au parc un peu d'air me fera du bien avant que j'ailles en cours. Ma petite fée vient de me rejoindre, je souris en lui tendant ma main, délicatement elle viens s'y déposé. Je ne peux m'empêcher de l'admirée et a chaque fois je me remémore notre premiére rencontre. Je suis attiré par le son d'un violon, c'est merveilleux ! Je m'approche alors d'un arbre sous lequel je m'assieds avec mon bel oiseaux qui voltige à mes cotés. Une fois installé, je sort mon carnet de dessin et me met à dessiné les contours de mon amie, la seule que j'ai actuellement. J'ai fais quelques connaissance mais rien qui mène à une amitié actuellement. J'aimerais tellement me sentir moins seul !
Il est 7h30 bercer par la douce mélodieux qui hantent mes oreilles, je couche sur papier ma petite fée. Je l'adore, elle est venue se déposée sur un de mes genoux et je peux délicatement faire apparaitre son portait à coup de crayon sur papier.
J'étais concentré dans mon dessin quand tout à coup, j'ai entendu un léger bruit, comme un bruissement d'aile quelque chose d'assez effrayant en tout cas pour ma petite fée parce que la peur la fait fuir de mes genoux. Je l'ai regardé faire surprise, je pense que je connais ce bruit, on dirait l'envol d'un aigle, un des ennemis de mon colibri puisque la plupart d'entre eux se nourrisse de petit oiseau et il faut avoué que ma petite fée n'est pas grande. Je me suis lever avec la peur au ventre qui lui arrive quelque chose. Je la suis alors du regard et elle s'envole pour allez se refugiez dans l'arbre qui se trouve juste au dessus de moi.
Sans la quitter des yeux, elle s'envole puis doucement je la vois se déposé sur l'épaule d'un jeune homme se trouvant dans l'arbre juste au dessus de moi. Je suis surprise et un peu gênée par la situation. Le jeune avait l'air d'être plongé dans ses pensées et ma petite fugueuse vient certainement d'interrompre un de ses rêves.
Je ne peux cependant m'empêcher de le regarder, son visage est si serein que je me trouve embarrassée par ce qui vient de se passer. Ne sachant que dire ou que faire, je dis la premiére chose qui me passe par la tête.
" Pardonnez moi, elle n'avait pas l'intention d'interrompre vos pensée...mais elle a pris peur et apparemment elle a pris votre épaule pour un endroit sécurisant..."
J'ai peut-être l'air idiote mais c'est la vérité. Je pourrais trés bien l'appeler mais la scène est si merveilleuse que j'ai peur de briser ce tableau qui apparait devant mes yeux.