Dim 5 Nov - 18:56 - Nom : Callahan
- Prénom : Joséphine, mais je préfère Jo.
- Sexe : Féminin.
- Âge : 16 ans.
- Avez-vous un animal ? Non
- Votre famille :
Mon père s'appelle Oliver Callahan, ma mère c'est Gwenlyn. J'ai deux frères aînés. Le premier s'appelle Harry. Il joue au rugby au Manchester Rugby Club. Le second, c'est Philip Callahan, il joue au football à Manchester United, il est milieu défensif ! Mais il est super doué en attaque aussi. Il a une petite-amie, Jenny, depuis le collège.
Donc vous l'aurez compris, on réside à Manchester. Notre famille a des origines irlandaises, mais j'ai échappé aux taches de rousseurs ! (ouf !)
- Votre description physique :
Je fais 1.63m de pure adrénaline ! Il y a longtemps que je n'ai pas vu une balance, mais je possède un corps harmonieux, dans la moyenne : ni ronde, ni trop fine. (en gros, j'ai de la viande sur mes os) J'ai les cheveux longs, fins et châtains. Pas de frange à l'horizon ! J'ai déjà donné, étant petite, et il est hors de question que ça se reproduise. J'ai déjà des sourcils suffisamment fournis pour ne pas les marquer par une mèche de cheveux coupée comme ça. Ah oui, on me dit que mon regard est pétillant, moi j'y vois juste du marron clair. Je n'ai pas de lèvres charnues, mais je maîtrise le sourire mutin à la perfection. Etant d'origine irlandaise, j'ai une peau plus blanche que les autres filles caucasiennes, mais je bronze plutôt bien ! Je suis habituée au soleil, à traîner dehors avec mes frangins, à faire du sport.
Mon style vestimentaire est plutôt classique, mais à la mode. J'aime bien la mode, je sais prendre soin de moi, de mon corps, de mon apparence. Je porte un léger maquillage, que j'accentue parfois selon l'occasion.
- Votre description psychologique :
Je suis téméraire, je fonce tête baissé dans l'action. Je veux vivre ma vie à fond ! On n'en a qu'une, autant en profiter. Je suis quelqu'un d'honnête et franche. Je mens plutôt mal, mais je commence à piger la technique. On me dit que j'ai une personnalité pétillante, moi je dis que je ne tiens pas en place, c'est tout. J'ai peur de rien ! (mais en fait, je le cache bien, c'est tout. Je prétends jusqu'à ce que cette peur disparaisse. Je cache mon côté romantique derrière des bravades. C'est plus simple comme ça.)
J'aime rendre service aux gens, j'ai entendu une fois le terme de Bon Samaritain. Moi, ça me va. Par contre, une chose est sûre : si je t'aime pas, je t'aime pas. Ca se voit sur ma figure. Ca se voit dans mon attitude. C'est mon côté vrai qui s'exprime.
J'adore le sport ! Je baigne dedans depuis que je suis toute petite, on a ça dans le sang, dans la famille. Avec mes frangins qui excellent dans leurs catégories respectives, ça me vient tout naturellement. J'ai donc développé avec mon père et mes frères mon esprit d'équipe et surtout ma compétitivité. Le souci, d'après mon père, c'est que je réponds à la provoc'. Je ne me laisse pas marcher sur les pieds, je préfère me battre, quitte à perdre, plutôt que de laisser passer un afront. J'aime le challenge, sous n'importe quelle forme. C'est comme ça qu'on vit des aventures ! Qu'on vit vraiment. Donc, forcément, il m'est arrivé de briser quelques règles, de passer outre ou de les ignorer. Après tout, les règles sont faites pour être testées ! Et puis, moi je dis : "Pas vue, pas prit !" Il vaut mieux vivre avec des remords qu'avec des regrets. Et ça, c'est mon crédo !
- Votre histoire :
Je suis la petite dernière de la famille Callahan. J'ai deux grands frères sportifs et mes deux parents sont encore ensembles, heureux et mariés. Mon père travaille au réseau ferré de Manchester et ma mère est gouvernante chez une famille plus riche. Ou en tout cas, qui ont les moyens de se payer une nanny quoi. J'ai grandi et toujours vécu à Manchester. Je sais pas quoi vous dire d'autres ? Parce que mon enfance fut heureuse et classique, entre l'école, les copines, les copains, le club de sport des frangins, les match, les soirées ou weekend passées dans les gradins à les soutenir, à crier le plus fort. J'ai toujours baigné dans cet univers. Et quand il n'y avait pas compèt, j'allais au centre commercial avec ma maman pour faire du shopping. On achetait de tout : des fringues, des accessoires, du maquillage, des bibelots, des bouquins. On mangeait un petit morceau et on rentrait finir la journée auprès de nos hommes, dans le canapé, devant un film.
Vraiment, une vie ordinaire.
Ah si ! un gentil mini mais pourtant si crucial léger petit détail : Je suis une sorcière ! La seule de la famille. On s'en est apperçu lorsque je me suis énervée, pendant un match de Basket dans notre jardin. Papa m'avait installé un panier sur la façade arrière de la maison. Les jours de beaux temps, j'arrivais à convaincre mes frères de faire une petite partie, même si c'était vraiment pas leur tasse de thé. Et donc, un aprèm, on jouait et Harry n'arrêtait pas de tricher et de garder la balle pour lui, sans la faire rebondir, ce qui était clairement une faute, alors ça m'a mise en rogne et soudain la balle vola dans mes mains avec force, j'ai du reculer de quelques pas. On s'est regardé comme des cons à se demander pourquoi et qu'est-ce qu'il s'était passé.
Là j'ai eu droit à une petite explication sur les moldus et les sorciers. (J'avais l'impression de revivre la fameuse et éternelle discussion sur... les oiseaux et les abeilles.) En gros, j'étais née avec un petit bonus non négligeable. Il me fallait cependant maitriser mes nouveaux dons. J'avais la ferme intention d'en profiter pour qu'Harry arrête de me prendre pour son défouloir.
Un jour, j'ai reçu à la maison une lettre en provenance de Poudlard. Et là, j'ai crié ''Youpi ! '' Pile poil ce dont j'avais besoin. Avec mes parents, nous sommes allés chercher les fournitures demandées dans le courrier et faire connaissance avec le monde sorcier. C'était fabuleux ! Tout est fantastique.
Enfin, la pré-rentrée était arrivée et me voilà à bord du Poudlard Express, après une séparation un peu difficile avec Maman. Vous pensez bien que j'ai fait une razia sur le chariot de bonbons quand celui-ci est apparu dans les couloirs. J'avais même pas prit le temps de me trouver un compartiment, alors quand j'ai eu finit de faire mes emplettes sucrées, j'ai ouvert la première porte venue et me suis installée là, le souffle court d'avoir courru. Je posais mes fesses lourdement sur la banquette et leva mes yeux sur une autre fille. Elle était aussi jolie et raffinée qu'une princesse. On dirait une poupée ! Mais mieux qu'une Barbie. Avec mon sans-gène habituel, je me présentais. Quand elle en fit de même ainsi que son pédigrée, j'ai eu l'impression d'avoir fait une bourde en choisissant cette voiture là. Du coup, je m'excusais et je lui demandais s'il fallait que je la laisse seule, si j'avais commis un impair. Elle s'étonnait de ma réaction et me demanda pourquoi je devrais m'en aller. Alors, sans réfléchir, je lui répondis qu'elle faisait quand même partie de la royauté, qu'elle devait avoir un garde du corps planqué quelque part et que j'allais me faire descendre par un sniper dans la seconde parce que j'avais osé l'approcher sans le protocole. Au fur et à mesure, je plaisantais et elle le comprit. Alienor, c'était son nom, me posa alors une question totalement incongrue à ce stade de la conversation : si j'étais une personne franche. J'devais avoir une tête d'ahurie, les yeux ronds. Je lui répondis que bien sûr, j'avais pas ma langue dans ma poche non plus. Et ce fut à cet instant que je fus adoptée par Mademoiselle Cavendish. Ca me fit rire et on passa un agréable voyage en direction de Poudlard.
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